Petit déjeuner thématique : Rêver la ville de demain

 Un grand bravo à Julie et à ses invités pour ce premier petit déjeuner de l’année que vous avez été nombreux à suivre !

  • Nathalie Leroy nous a parlé des recherches menées par ARTE CHARPENTIER sur la « gestion de l’eau pluviale » avec la publication Liv’eau
  • Alexandre Maneval a présenté le projet Centre R&I Danone qui a remporté le prix « coup de cœur SIMI »  
  • Et Sophia Verguin a pris la parole sur « le commerce de demain »

 

Retrouvez la vidéo et le document de référence.

📰 Vu dans la presse : “On peut chiffrer le coût de manière assez simple” : comment le groupe Essor a décidé d’investir dans la sécurité informatique

STRATÉGIE
MARDI 30 JANVIER 2024
Par Léo Vidal-Giraud

Le groupe Essor est la cible de « 50.000 à 60.000 tentatives d’intrusion par mois »

Spécialisé dans l’immobilier tertiaire, le groupe palois Essor a récemment pris la décision d’investir dans la sécurité informatique. À l’origine de ce choix, la croissance de l’entreprise, mais aussi une cyberattaque déjouée. Comment estimer le coût du risque de sécurité, quel format donner à son investissement dans la sécurité, comment éduquer ses équipes à ces enjeux…

Retour sur ces questions avec Elodie Lalanne-Larrieu, directrice générale déléguée en charge des fonctions support, et Maxime Chardin, responsable de la sécurité informatique.

Qu’est-ce qui a motivé le groupe Essor à investir dans la sécurité informatique ?
Elodie Lalanne-Larrieu, directrice générale déléguée : En toute logique, ça ne devrait être ni le fait d’atteindre une certaine taille, ni celui d’être ciblé par une tentative d’intrusion – réussie ou échouée -, qui devrait faire s’intéresser
l’entreprise à la sécurité de la donnée. Malheureusement, dans la vraie vie, c’est souvent le cas… Pour nous, ç’a été les deux : il y a quatre mois, nous avons subi une attaque partielle, que nous avons pu maîtriser. Et la direction
générale avait pris la décision de poser une politique de gestion des risques. Or, en gestion des risques, une cyberattaque réussie, c’est un cygne noir : elle a peu de chances de réussir, mais si elle réussit c’est une catastrophe, et pour
certaines entreprises, c’est potentiellement mortel.

Comment estimer le coût potentiel d’une cyber-attaque ?
ELL : En fait, on peut chiffrer le coût de manière assez simple. Vous simulez une attaque, vous imaginez 100 personnes à l’arrêt pendant dix jours : c’est une perte de temps et d’argent monstrueuse : le coût temps-homme, plus le coût de la perte de la donnée, le coût de la remise en route… et enfin, le coût en termes de confiance. Celui-là, c’est du temps long. On peut avoir des clients qui ont des données sensibles, des industriels par exemple, c’est une obligation pour nous d’assurer la sécurité. Nous avons aussi des engagements vis-à-vis de l’ensemble de nos parties prenantes, nos partenaires bancaires et financiers, les actionnaires du groupe, les salariés… C’est aussi pourquoi ceux qui ont subi une attaque massive ont intérêt à réfléchir sur leur communication de crise : il faut gérer en équipe, créer une cellule de crise étanche, travailler à ce que l’on va faire heure par heure. C’est une situation très anxiogène.

100.000 euros sur trois ans
Comment Essor a-t-il choisi de gérer ce risque ?
Maxime Chardin, responsable des systèmes d’information : Le choix que nous avons fait était dans une optique de protéger nos données. On a fait des audits en interne : pour une entreprise de notre taille, il aurait fallu embaucher trois ou quatre personnes de plus, dont un analyste et une personne spécialisée dans la sécurité. Mais en plus de ce coût, il y avait celui de la mise à jour de leurs connaissances, ce sont des postes qui doivent toujours être en formation pour pouvoir rester dans la course technologique. Nous avons donc décidé d’externaliser cette surveillance chez un fournisseur tiers, qui se charge d’analyser toutes nos transactions de sécurité.
ELL : C’est ce choix que l’on a fait de prendre une société tierce, qui nous garantit d’avoir des ingénieurs toujours formés up-to-date. Nous avons aussi débloqué une ligne budgétaire pour renforcer la surveillance des outils de travail, des serveurs et de notre cloud, avec des antivirus de troisième génération [embarquant une intelligence artificielle et capables de déconnecter immédiatement du réseau un ordinateur infecté, ndlr]. En résumé, c’est un investissement que nous avons décidé de faire au vu de notre structure, notre environnement, notre niveau de maturité… Il faut aussi prendre en compte le fait que la sécurité, c’est plus facile si l’on n’a qu’un seul site. Nous sommes présents sur plusieurs sites en France, un peu en Espagne également… Si nous étions une entreprise monde, ça serait encore différent.

À combien s’élève cet investissement ?
Maxime Chardin : Le dispositif de surveillance externalisé, c’est 100.000 euros sur trois ans. C’est beaucoup moins que d’internaliser trois ingénieurs sécurité, qui aujourd’hui sont chassés par les entreprises pour des montants mirobolants. Ensuite, il faut être constamment proactif : tous les ans, il faut en remettre une couche, s’améliorer en continu. On ne peut pas se permettre de ne plus investir, on ne peut pas s’arrêter quand on est bien protégé à un instant T. À cela s’ajoute le coût humain pour déployer le système et le temps pour la gestion de projet, ainsi que le coût matériel. Tout le monde n’était pas équipé de smartphones, on a dû en fournir à tous nos employés pour permettre de mettre en place un système de double authentification. Et il y a d’ailleurs toute la question de l’acceptation…

L’enjeu de l’acceptabilité

Justement, l’acceptation est-elle un enjeu ? Comment les équipes réagissent-elles ?
ELL : Nos collaborateurs étaient déjà un peu sensibilisés, la question de la sécurité est ancrée dans l’ADN d’Essor. C’est aussi lié avec le profil de notre fondateur David Pouyanne, qui est banquier et connaît donc ces enjeux. Après, on s’y est pris en communiquant, en expliquant. On informe, on sensibilise, on prévient : attention, en ce moment il y a une vague de spams, ne cliquez pas sur les liens suspects… Et une fois par mois en codir, on informe sur le nombre de tentatives d’attaque subies le mois précédent.
MC : Et elles ne vont pas en diminuant ! On prend entre 50 et 60.000 tentatives d’intrusion par mois, que ce soit sur les boîtes mail ou les liaisons internet des sites. Et l’émergence des IA rend les attaques plus dangereuses et
imprévisibles.
ELL : C’est beaucoup de pédagogie et de rappel des règles de bon sens, en particulier sur le matériel : faire attention à son ordinateur, ne pas le laisser sur le siège de sa voiture, le verrouiller dans le train. La double authentification crée aussi des routines : si vous ne déverrouillez pas, vous ne pouvez pas bosser !

Article PLACECO – Immobilier médical : « le privé a un rôle à jouer dans la question des déserts médicaux »

Article à lire dans la rubrique “Stratégie” de Placéco – Edition Nouvelle Aquitaine, vendredi 19/01/2024

STRATÉGIE

VENDREDI 19 JANVIER 2024

Par Léo Vidal-Giraud

Le projet Ecosystème, 10.000 m² dédiés à la santé et au bien-être, devrait voir le jour en 2025 près de l’hôpital de Pau | Crédit : Groupe Essor

Avec plusieurs projets déjà livrés ou prévus pour les années à venir, le groupe immobilier Essor mise à Pau sur les bâtiments à usage médical ou de santé. Une stratégie inspirée par des tendances nationales et des spécificités locales, et qui a vocation à s’établir dans le temps long. Entretien avec Loubna Louza, directrice générale de l’agence Pau Pyrénées d’Essor Développement.

Pôle de santé Lo Casau inauguré le 11 décembre dernier, mais aussi Pôle médical du Béarn, 2.300 mètres carrés en R+2 dont la livraison est prévue en 2025 ; ou encore projet Ecosystème, 10.000 mètres carrés dédiés aux activités médicales et de santé, livraison en 2025 également… Pour ses futurs projets dans l’agglomération paloise, le groupe Essor mise beaucoup sur le secteur de la santé et du médical. Et la stratégie essaime, avec des projets dans les cartons à Boucau en Pays basque, Bordeaux et jusqu’au Val d’Oise. 

S’agit-il d’un choix délibéré de privilégier ce type de projets ? Quels en sont les spécificités et la rentabilité ? Loubna Louza, directrice générale de l’agence Pau Pyrénées d’Essor Développement, a répondu aux questions de Placéco Béarn.

Pourquoi ce choix de se concentrer sur les bâtiments à vocation médicale ?
Dans le développement, il y a une part d’opportunisme et une part d’étude. Et cette part d’étude est liée à notre implantation dans les territoires. Ici, à Pau, nous avons un PLS, un Plan local de santé, qui donne les lignes directrices de la politique de santé de l’agglomération, que l’on étudie et que l’on analyse. Il y a aussi des constats qui viennent de la réglementation : les médecins ont l’obligation d’adapter aux personnes à mobilité réduite les bâtiments dans lesquels ils reçoivent leurs patients. Mais souvent, ils n’ont pas la main, s’ils reçoivent leurs patients dans un immeuble ancien entre centre-ville par exemple. Enfin, on se rend compte, après covid, que l’accès à la santé devient une préoccupation centrale des Français. Il y a de plus en plus de déserts médicaux : que pouvons-nous y faire ?
Tout cela se traduit de façon très simple, par la volonté de mener des projets dans le médical. La localisation des projets que nous portons est précise : elle est dans le périmètre immédiat de l’hôpital.

Pourquoi ce choix de concentrer les projets autour de l’hôpital ?
On a pris ce parti en raison de la proximité de l’autoroute, parce qu’on sait que de nombreux professionnels de la santé transitent de la côte basque au Béarn. Et puis, la médecine n’est pas le commerce : dans le commerce, les magasins n’aiment pas se superposer, il y a concurrence, lutte pour les parts de marché… dans la santé, c’est différent, ça fonctionne en synergie, ils sont contents d’être concentrés, de se renvoyer les patients, et ça facilite le parcours médical. C’est ça qui fait que notre stratégie de recherche et de prospection foncière s’est concentrée autour de l’hôpital.

Quelles sont les particularités des projets de ce type, par rapport à des immeubles de bureaux classiques ?
D’abord, l’accessibilité. Ce sont des immeubles qui reçoivent du public et qui sont dimensionnés pour ça. Il faut prévoir un accès et un stationnement facile… iI faut aussi garder à l’esprit que dans un bâtiment de ce type, les ascenseurs doivent pouvoir accueillir des brancards : il faut donc prévoir des gaines d’ascenseurs surdimensionnées. Ensuite, même si les équipements médicaux ne dépendent pas de nous, on doit prévoir un bâtiment qui s’adaptera à tous les types d’activité médicale. On questionne donc l’activité qui va être menée pour prévoir des espaces qui répondent aux besoins. Par exemple, un robot d’imagerie va peser très lourd, il faut prévoir cette surcharge. Ou bien, pour un cabinet médical, il faut des espaces de convivialité et des espaces privés. Quand on a conçu le pôle de périnatalité, il fallait pouvoir s’y garer, entrer dans l’immeuble et aller voir les pédiatres avec une poussette et un bébé dans les bras !

Est-ce que cela a fait évoluer votre façon de travailler ?
Nous avons fait évoluer notre modèle. Le plus simple pour nous c’est de livrer des bâtiments bruts, sans les finitions. Mais on s’est rendu compte que nos clients allaient perdre du temps, que ça pouvait être compliqué pour eux, et que l’on pouvait être beaucoup plus aidants en livrant des bâtiments finis. On va donc beaucoup plus loin avec les clients dans les discussions, pour bien comprendre ce dont ils ont besoin et ce qu’ils vont faire de leur local.

Lire aussi : Medwork, quand une agence de communication se lance dans le coworking médical

Est-ce un sujet spécifique à votre activité en Béarn ?
La santé, au sens large, c’est un sujet que travaillent l’ensemble des filiales de notre groupe. C’est un sujet palois, côte basque, bordelais, parisien, toulousain… Et c’est aussi un sujet que l’on retrouve sur l’ensemble des filiales en développement. Un domaine sur lequel l’ensemble des filiales métiers du groupe ont une pénétration. Et c’est appelé à continuer : il n’y a pas un jour où on n’entend pas parler de la santé, des déserts médicaux… Les collectivités s’en sont saisies, mais le privé a un rôle à jouer.

Justement, est-ce que les projets de ce type impliquent de travailler plus étroitement avec les collectivités ?
À Pau, c’est particulier : on a une collectivité qui est très impliquée, structurée… et très regardante de tout ce qui se fait chez elle. Ça implique de la concertation. Il faut aussi savoir qu’on a acheté les terrains à la collectivité, ce sont des décisions publiques. Je pense que la collectivité voit plutôt d’un bon œil le fait que l’on se saisisse de ces sujets-là, parce qu’on apporte des solutions. Elle a en face d’elle des utilisateurs, des professionnels de la santé, qui cherchent une solution, et nous disons « ok, on va trouver ». C’est aussi cela le rôle d’un faiseur immobilier : savoir répondre à un besoin, et parfois aussi savoir consentir un effort financier pour qu’un projet aboutisse.

Ce sont des projets moins rentables que les immeubles de bureaux classiques ?
Évidemment, pour tous les projets, la pertinence économique doit être là. On ne vit pas de l’air du temps ! Mais il y a des opérations qui sont plus rentables que d’autres, et on regarde l’ensemble.

Est-ce que votre équipe monte en compétence sur ces projets particuliers ?
Le socle du groupe, c’est de prendre des gens avec un savoir-faire, et de faire en sorte que dans leur vie, ils grandissent en compétences. Bien sûr, il y a une expertise que l’on acquiert, et on espère à chaque nouvelle fois produire mieux. Je pense que c’est aussi ce qui rend nos métiers intéressants, passionnants, et qui leur donne de la profondeur et du sens : la fois d’après, essayer de faire encore mieux que la fois d’avant. Il faut aussi savoir que beaucoup de montées en compétences de notre groupe ont été faites en rachetant des sociétés externes. Pour le secteur hospitalier, les études, l’assistance à maîtrise d’ouvrage… Et l’ADN du groupe c’est vraiment d’être au plus proche des attentes des territoires. De par notre agilité, notre taille, on a la capacité d’être au plus proche des attentes, de l’expertise demandée : se remettre en question, remettre en question notre proposition, personnaliser, adapter.

Fusion des différentes sociétés de l’Ingénierie

Depuis le 1er janvier 2024, Essor Ingénierie rassemble toutes les sociétés de l’activité éponyme, à l’exception de l’AMO, sous une même entité juridique.

Attendue par un grand nombre, cette fusion va permettre de :

Consolider les ressources et les expertises

” Les 11 implantations actuelles de l’ingénierie permettent à l’activité un travail en proximité avec les clients mais également une mutualisation des ressources des agences régionales qui garantit une meilleure coordination des opérations. L’activité de ces sociétés consiste à la réalisation de tout ou partie des missions généralistes de Maîtrise d’œuvre, de la conception technique et architecturale des projets à la réception, en passant par le suivi et la coordination de chantier. En parallèle, l’objectif est de proposer des solutions adaptées et répondant aux enjeux des clients et utilisateurs, tout en optimisant la performance de l’opération : planning, économique, énergétique mais aussi environnementale. Le projet de fusion renforcera cette stratégie en permettant également de présenter un bilan consolidé des 4 entités, tant en termes de chiffres que d’effectifs. Cela permet d’être plus efficients sur des AO à forts enjeux et renforce notre crédibilité auprès des grands donneurs d’ordres privés et publics. Chaque agence bénéficiera de ce bilan consolidé et renforcera ainsi sa présence territoriale. “

Thomas Martial

Consolider notre cohésion interne et accroitre notre lisibilité à l’externe

” Une harmonisation des statuts du personnel dans cette unique structure qui regroupe 150 personnes, permet non seulement la simplification de nos démarches collaboratives au sein du groupe mais elle favorise aussi la lisibilité des expertises d’Essor Ingénierie et les synergies avec les autres activités d’Essor.
Je souhaite toute la réussite possible à ces équipes réunies dans les projets entrepris pour porter haut et fort les couleurs du groupe Essor.”

Elodie Lalanne-Larrieu

Nous vous invitons à vous rapprocher de votre directeur d’agence, des RH ou des membres des CSE pour toute question concernant la fusion Essor Ingénierie.

Eko-Vallée à Groslay (95)

A saisir sur cette 1ère tranche de travaux : derniers locaux d’activités à la vente, de 184 m² à 467 m².
Livraison 1er trimestre 2025. 
 
Aux portes du Grand Paris, sur le territoire dynamique de Plaine Vallée, ce village d’entreprises de 34 000 m² bénéficie d’une accessibilité remarquable. Les utilisateurs des bureaux et des locaux d’activités qu’il accueillera bénéficieront de nombreux services, loisirs ainsi que d’un pôle médical et de bien-être, dans un cadre végétal d’exception pour vos clients et collaborateurs.
 
Contactez Lucas Fernandes au 07 88 95 49 79.
Découvrez Eko-Vallée en 10 publications !

Conçu et aménagé par Essor Développement à Groslay (95) en partenariat avec Plaine Vallée Agglo et son aménageur la SEMAVO.
#EkoVallee #Essor #PlaineVallee #Groslay #ValdOise #VivreEtTravaillerAutrement #Immobilier

Livraison des nouveaux locaux ENEDIS à Guéret

Livraison pluvieuse mais heureuse mardi dernier à Guéret pour les équipes ENEDIS qui ont pris possession de leurs nouveaux locaux !

Bâtiment labelisé E+C1- , démarche biodiversité aboutie et présence de la LPO Limousin.

Retrouvez-nous du 12 au 14 décembre 2023 au SIMI – Stand B46

Mardi 12 décembre

15:00 – Signature du partenariat avec TenCate AquaVia 

TenCate AquaVia se consacre spécifiquement aux enjeux de la dépollution des eaux pluviales. L’entreprise conçoit et fabrique en France des textiles techniques dépolluants à haute valeur ajoutée, dont l’aquatextile oléo-dépolluant TenCate GeoClean®, qui fixe et biodégrade systématiquement et sur le long terme les hydrocarbures contenus dans les eaux de ruissellement. Les aquatextiles visent à protéger les ressources naturelles afin de construire un monde durable pour les générations futures en redonnant à l’eau la place qui lui revient dans l’environnement tout en faisant cohabiter harmonieusement aménagement du territoire et préservation de l’environnement.

Deux opérations pilotes (ATM Express à Ancenis (49) et UPS Landes à Saint-Geours-de-Maremne (40)) ont été menées par ESSOR DEVELOPPEMENT, Pôle Logistique, Activités & Industrie afin de mettre en œuvre l’aquatextile oléo-dépolluant TenCate GeoClean®.   

Le partenariat qui sera signé le 13 décembre entre Franck Rabiller, Directeur du pôle LAI et Jean-Pascal Mermet, président TenCate AquaVia, permettra d’accélérer et de massifier la construction et la rénovation « à faible impact environnemental ».

Sur notre stand B46

Mercredi 13 décembre

10:00 – Conférence 

Recyclage urbain, biodiversité, dépollution, construction bas carbone : comment concilier réalités opérationnelles et enjeux climatiques ?

 

A l’heure où l’immobilier doit se réinventer, où le recyclage urbain devient un impératif, concilier les réalités opérationnelles avec les enjeux climatiques représente un réel défi. Les nouvelles règlementations environnementales, d’urbanismes et industrielles, répondant chacune à leur propre temporalité, rendent les projets de plus en plus complexes à mettre en œuvre dans un contexte économique coercitif. Elles représentent des freins auxquels sont confrontés les acteurs de l’immobilier et qui ne pourront être levés que par une réflexion collaborative de l’ensemble des parties prenantes.

Ainsi, lors de cette table ronde, en compagnie de nos invités, nous avons choisi de nous questionner sur comment construire une vision globale de projet et la mettre en œuvre efficacement, en impliquant les collectivités locales, les administrations, les services de l’Etat et les opérateurs privés ?

Animée par Gaël Thomas, directeur de la rédaction de Business Immo, cette conférence accueillera 
  • Daphnée Ract Madoux. Architecte-urbaniste, élue locale et ancienne sénatrice de l’Essonne
  • Olivier Colonna d’Istria. Président de l’Institut du financement des professionnels de l’immobilier (IFPImm), Président du directoire de SOCFIM
  • Raphaël Léonetti. Responsable du LAB, Cabinet Cheuvreux. Rapporteur au 119e Congrès des Notaires sur le Logement
  • Cyril Trétou. Architecte Urbaniste associé, ANMA
  • Jean-Yves Langla. DG Groupe Essor 
 Salle 242 B – Niveau 2

A partir de 18:00 – Cocktail 

préparé par Laetitia Gaborit, MOF fromagère

Sur notre stand B46

L’art, l’immobilier, et l’inspiration se rencontrent à Poissy !

Nous sommes ravis de partager une nouvelle étape passionnante dans notre engagement en faveur de l’art et de la culture. Groupe Essor participe au mécénat de l’œuvre d’art en production du projet “Envol(s)”.
Ce projet artistique unique, porté par MARIE ODILE FOUCRAS, architecte urbaniste et son agence, est réalisé en collaboration avec les lycéens de la Cité Scolaire Le Corbusier et les détenus de la Maison Centrale de Poissy, sous la direction de l’artiste Emmanuel Michel Peintre Sculpteur. Les statues réalisées incarnent respectivement la chute tragique d’Icare et l’envol créatif de Dédale. Leurs moules ont été produits au sein du Parc DYNAMIKUM.

Pour plus d’informations sur “Envol(s)” et notre engagement dans ce projet unique, suivez notre page LinkedIn !
Pour en savoir plus sur le parc d’activités Dynamikum et les dernières opportunités d’acquisition / investissement, contactez Benoit Berge au 06 79 35 21 71 et RDV sur notre site internet : https://www.essor.group/

📷 Suivez en images l’avancement des travaux du bâtiment situé rue David d’Angers dans le 19e arrondissement de Paris

🏗 Suivez en images l’avancement des travaux de restructuration lourde du bâtiment situé au 27 rue David D’Angers dans le 19ème arrondissement de Paris.


🗓 Dès l’été 2024, vous pourrez y retrouver vos futurs bureaux, pour une superficie totale de 840m² divisibles à partir de 141m².


📞 Pour plus de renseignements : 06.38.64.51.22

@AIRbyEssor @RabotDutilleul